[Rp] Les Trois Vachette et un Vicomte.
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[Rp] Les Trois Vachette et un Vicomte.
Titca Jeu 22 Sep - 12:21
-[ Acte I : L'embarquement à Limoge ]-
La vipère était invitée à l'anoblissement de son second, un certain Tadeus de Montfort-Vendome. Le parchemin était déposé sur une petite table à l'entrée son appartement, enfin pas le sien à elle, mais passons. Et chaque jour alors qu'elle passait devant, la Soye trépignait à l'idée de s'y rendre en compagnie de sa nièce, mais également d'un certain blond qui ne la laissait pas indifférente. Les jours passèrent et LE moment du départ approchait, ce qui la rendit d'excellente humeur.
Aussi loin que remonte ses souvenirs, Tit et Tadeus avaient toujours étaient proche, unis dans les difficultés et rare sont les moments ou tout deux étaient fâchés, ou en désaccord total. Toujours soudé donc et elle était ravie d'avoir l'occasion d'être présente alors qu'il deviendra Seigneur. Elle repensa au passé tout en laissant Nasty et Marguerite s'occuper de ses cheveux et de l'ajustement de sa robe. Les deux femmes devenue très complice passaient leurs temps à s'occuper des enfants de la Vipère ou alors de la Vipère elle-même prenant plus trop de temps pour elles, c'est pour cette raison que Tit avait décidée de partir en compagnie d'Hector uniquement. De toute façon le carrosse de Soye n'était pas assez grand pour accueillir cinq adultes et s'y étaler confortablement.
Ca va... Trug' Elle ce regarda dans le miroir quelques instants et fut surprisse d'y découvrir ces long cheveux blond-brun détachée et courant dans son dos pour atteindre la courbe de ses reins. Sourire heureuse de pouvoir paraitre moins sérieuse et elle quitta la chambre. Marguerite ? Faite venir Catherine-Élisabeth devant la Cathédrale... Je part à la cherche du maire.
Le Maire, le Juge, le blond aussi. Elle s'engouffra dans les rues de Limoge comme un soldat sur le champs de bataille, en ce moment la ville était animée et très vivante, ce qui ne la dérangeait absolument pas, bien au contraire. Gauche, ruelle un peu trop sombre à son gout, droite et enfin la place de la mairie. Poussant la porte du bout des doigts, elle ce rendit devant le bureau du maire et par politesse frappa quelques coups sur la seconde porte qui ce dressait devant-elle.
Kartouche ? Sourire un peu niais à la porte, s'approchant de celle-ci sans l'ouvrir pour rajouter. Êtes-vous prêt ? Vipère qui recule et trépigne d'impatience à l'idée de partir en voyage avec les deux blonds... La route allait être longue, mais promettais quelques discutions intéressantes. Et puis arrivée à destination elle allait revoir Betoval et ça c'était une énième raison d'avoir hâte !
La vipère était invitée à l'anoblissement de son second, un certain Tadeus de Montfort-Vendome. Le parchemin était déposé sur une petite table à l'entrée son appartement, enfin pas le sien à elle, mais passons. Et chaque jour alors qu'elle passait devant, la Soye trépignait à l'idée de s'y rendre en compagnie de sa nièce, mais également d'un certain blond qui ne la laissait pas indifférente. Les jours passèrent et LE moment du départ approchait, ce qui la rendit d'excellente humeur.
Aussi loin que remonte ses souvenirs, Tit et Tadeus avaient toujours étaient proche, unis dans les difficultés et rare sont les moments ou tout deux étaient fâchés, ou en désaccord total. Toujours soudé donc et elle était ravie d'avoir l'occasion d'être présente alors qu'il deviendra Seigneur. Elle repensa au passé tout en laissant Nasty et Marguerite s'occuper de ses cheveux et de l'ajustement de sa robe. Les deux femmes devenue très complice passaient leurs temps à s'occuper des enfants de la Vipère ou alors de la Vipère elle-même prenant plus trop de temps pour elles, c'est pour cette raison que Tit avait décidée de partir en compagnie d'Hector uniquement. De toute façon le carrosse de Soye n'était pas assez grand pour accueillir cinq adultes et s'y étaler confortablement.
Ca va... Trug' Elle ce regarda dans le miroir quelques instants et fut surprisse d'y découvrir ces long cheveux blond-brun détachée et courant dans son dos pour atteindre la courbe de ses reins. Sourire heureuse de pouvoir paraitre moins sérieuse et elle quitta la chambre. Marguerite ? Faite venir Catherine-Élisabeth devant la Cathédrale... Je part à la cherche du maire.
Le Maire, le Juge, le blond aussi. Elle s'engouffra dans les rues de Limoge comme un soldat sur le champs de bataille, en ce moment la ville était animée et très vivante, ce qui ne la dérangeait absolument pas, bien au contraire. Gauche, ruelle un peu trop sombre à son gout, droite et enfin la place de la mairie. Poussant la porte du bout des doigts, elle ce rendit devant le bureau du maire et par politesse frappa quelques coups sur la seconde porte qui ce dressait devant-elle.
Kartouche ? Sourire un peu niais à la porte, s'approchant de celle-ci sans l'ouvrir pour rajouter. Êtes-vous prêt ? Vipère qui recule et trépigne d'impatience à l'idée de partir en voyage avec les deux blonds... La route allait être longue, mais promettais quelques discutions intéressantes. Et puis arrivée à destination elle allait revoir Betoval et ça c'était une énième raison d'avoir hâte !
Titca- Messages : 4
Date d'inscription : 20/09/2011
Localisation : Limousin
Métier : Religieuse
Re: [Rp] Les Trois Vachette et un Vicomte.
catherine_elisabeth Jeu 22 Sep - 23:45
( Acte I / Embarquement à Limoges )
( scène I ... Oui parce qu'on sait jamais, connaissant les énergumènes, mieux vaut voir trop que pas assez... c'est le titre de ta scène I ? Non les explications... chut ça commence ! Oui mais l'titre c'est quoi alors ? Heu.... Ah je sais : Une furie, ça peut vous détruire une montagne. Ou pas )
Pour tenter d'être plus clair...
Nous sommes en l'an de grâce 1459, dans les sublimissimes etbancaux bancals Comtés du Limousin et de La Marche. Tout ces dits comtés sont envahis par la torpeur matinale, restant vautrés dans leur draps, ronflants comme des gorets, bavant de façon supra glamour sur la taie de l'édredon familial.... Tous ?
Non !!!
Car une petite princesse (malgré elle), comtesse et pestouille à ses heures, résistent encore et toujours à ce laissé allé... Au grand damne de ses GS (gentils serviteurs, mais ça fait péjoratif hein)
Allons voir de plus près... Encore plus près.... Plus près j'ai dit ! Outch trop près... N'allez pas lui abimer son petit nez, qu'elle a fort joli, soit dit en passant.
Nous voici donc dans les appartements de la petite blonde.
A marquer dans les annales, elle laisse pas entrer quelqu'un facilement là dedans. Graaand jour pour vous ! Oui bon bref...
On recule un peu, voyons ce que nous... avons à voir. Logique.
On passe la porte. Mais c'est un vrai boWdel ici !
Oui, mais un boWdel organisé Monsieur !
Quelques centaines de mètres de tissu froufrouteux de la meilleure qualité qui soit traine un peu partout. Des assiettes comportant mille et un délice pour le plaisir de ses papilles si délicates, quelques coupes de vin de champagne... Plusieurs jeunes filles de compagnies, ne cessant de s'extasier sur les diverses tenues que Catherine est en train d'essayer devant leurs yeux admiratifs ! (tsss)
CE (Catherine Elisabeth... pour ceux qui suivent pas) Après avoir vidé l'intégralité de sa garde robes, qui en surface, et par on ne sait quelle acte d'ingéniosité des maîtres d'oeuvres, fait quasiment la moitié de la surface du Castel)
J'ai rien à me meeeeeeettreeeeeuuuh !!!
Je voulais la jolie houppelande que j'ai vu sur la dame la dernière fois....
ML (Marie Louise, la Gouvernante)
Où ça comtesse ? Au bal ? Au thé hier ? La jolie brune avec sa robe verte ?
CE
Han mais n'importe quoi Marie Louise, vous devriez songer à prendre retraite !!! Du vert !!! Pour moi ??? Vous voulez que je ressemble à une.... Tsss..
Non la superbe robe là ! Je l'avais vu avec Pap.. Kartouche la dernière fois !
Je me souviens, c'était en effet une jolie brune qui la portait... Je sais plus quand.... Tsss
Marie Louise vous servez vraiment à rien !
ML
Votre Grandeur.... Vous.... Vous seriez pas en train de penser à... à la robe de la reyne lors du sacre ?
CE
Ah bah voilà, quand vous voulez vous pouvez montrer un brin d'intelligence ! Oui c'est ça ! Je VEUX la robe de la reyne ! Maintenant !!! J'ai dit !
ML
Catherine Elisabeth Jane Maria ange Typhanie Béatrice Parfaite (là j'sais pas ce qu'elle avait en tête sa mère) de Castelléo Casaviecchi !!!! Cessez vos caprices immédiatement ! Vous êtes peut être comtesse, mais je suis encore votre gouvernante et j'peux encore vous mettre une raclée !
Vous allez mettre la blanche là ! Elle est parfaite !
Allez hop hop hop !
Marguerite vous attends en bas pour vous amener auprès de votre marraine !
Action !
CE
GnanGnanGnan (elle a toujours eu de la répartie cette petite)
Après avoir terminé de saccager ses appartements, l'ange blond en sortit enfin, magnifiquement vêtue, coiffée d'une jolie natte, et rejoignit Marguerite dans l'entrée...
( scène II ... J'l'avais dit qu'il y en aurait plus qu'une Ouai et le titre ? ça vient... c'est "ça vient" le titre ? j't'ai demandé si ta grand mère elle faisait du poney ? Heu.... donc : Sainte Catherine Elisabeth Oui on peu se le permettre, la scène dure pas longtemps... )
Enfin arrivée devant la cathédrale, la princesse pestouille descendit de voiture (une deux chevaux, ça l'fait) et se dirigea sur le parvis, afin d'y attendre tranquillement sa marraine et Kartouche.
Elle même ne rencontrerait son cavalier qu'une fois à destination...
Intriguée, curieuse, impatiente, un peu en colère aussi...
Mais à cette heure, et parce qu'elle était devant un lieu Saint, elle n'en montrait rien.
L'on voyait juste un visage angélique, entouré d'une masse de cheveux soyeux et blond, aux traits doux et juvéniles.
Mains jointes devant elle, elle semblait prier, en attendant la troupe...
( scène I ... Oui parce qu'on sait jamais, connaissant les énergumènes, mieux vaut voir trop que pas assez... c'est le titre de ta scène I ? Non les explications... chut ça commence ! Oui mais l'titre c'est quoi alors ? Heu.... Ah je sais : Une furie, ça peut vous détruire une montagne. Ou pas )
Pour tenter d'être plus clair...
Nous sommes en l'an de grâce 1459, dans les sublimissimes et
Non !!!
Car une petite princesse (malgré elle), comtesse et pestouille à ses heures, résistent encore et toujours à ce laissé allé... Au grand damne de ses GS (gentils serviteurs, mais ça fait péjoratif hein)
Allons voir de plus près... Encore plus près.... Plus près j'ai dit ! Outch trop près... N'allez pas lui abimer son petit nez, qu'elle a fort joli, soit dit en passant.
Nous voici donc dans les appartements de la petite blonde.
A marquer dans les annales, elle laisse pas entrer quelqu'un facilement là dedans. Graaand jour pour vous ! Oui bon bref...
On recule un peu, voyons ce que nous... avons à voir. Logique.
On passe la porte. Mais c'est un vrai boWdel ici !
Oui, mais un boWdel organisé Monsieur !
Quelques centaines de mètres de tissu froufrouteux de la meilleure qualité qui soit traine un peu partout. Des assiettes comportant mille et un délice pour le plaisir de ses papilles si délicates, quelques coupes de vin de champagne... Plusieurs jeunes filles de compagnies, ne cessant de s'extasier sur les diverses tenues que Catherine est en train d'essayer devant leurs yeux admiratifs ! (tsss)
CE (Catherine Elisabeth... pour ceux qui suivent pas) Après avoir vidé l'intégralité de sa garde robes, qui en surface, et par on ne sait quelle acte d'ingéniosité des maîtres d'oeuvres, fait quasiment la moitié de la surface du Castel)
J'ai rien à me meeeeeeettreeeeeuuuh !!!
Je voulais la jolie houppelande que j'ai vu sur la dame la dernière fois....
ML (Marie Louise, la Gouvernante)
Où ça comtesse ? Au bal ? Au thé hier ? La jolie brune avec sa robe verte ?
CE
Han mais n'importe quoi Marie Louise, vous devriez songer à prendre retraite !!! Du vert !!! Pour moi ??? Vous voulez que je ressemble à une.... Tsss..
Non la superbe robe là ! Je l'avais vu avec Pap.. Kartouche la dernière fois !
Je me souviens, c'était en effet une jolie brune qui la portait... Je sais plus quand.... Tsss
Marie Louise vous servez vraiment à rien !
ML
Votre Grandeur.... Vous.... Vous seriez pas en train de penser à... à la robe de la reyne lors du sacre ?
CE
Ah bah voilà, quand vous voulez vous pouvez montrer un brin d'intelligence ! Oui c'est ça ! Je VEUX la robe de la reyne ! Maintenant !!! J'ai dit !
ML
Catherine Elisabeth Jane Maria ange Typhanie Béatrice Parfaite (là j'sais pas ce qu'elle avait en tête sa mère) de Castelléo Casaviecchi !!!! Cessez vos caprices immédiatement ! Vous êtes peut être comtesse, mais je suis encore votre gouvernante et j'peux encore vous mettre une raclée !
Vous allez mettre la blanche là ! Elle est parfaite !
Allez hop hop hop !
Marguerite vous attends en bas pour vous amener auprès de votre marraine !
Action !
CE
GnanGnanGnan (elle a toujours eu de la répartie cette petite)
Après avoir terminé de saccager ses appartements, l'ange blond en sortit enfin, magnifiquement vêtue, coiffée d'une jolie natte, et rejoignit Marguerite dans l'entrée...
( scène II ... J'l'avais dit qu'il y en aurait plus qu'une Ouai et le titre ? ça vient... c'est "ça vient" le titre ? j't'ai demandé si ta grand mère elle faisait du poney ? Heu.... donc : Sainte Catherine Elisabeth Oui on peu se le permettre, la scène dure pas longtemps... )
Enfin arrivée devant la cathédrale, la princesse pestouille descendit de voiture (une deux chevaux, ça l'fait) et se dirigea sur le parvis, afin d'y attendre tranquillement sa marraine et Kartouche.
Elle même ne rencontrerait son cavalier qu'une fois à destination...
Intriguée, curieuse, impatiente, un peu en colère aussi...
Mais à cette heure, et parce qu'elle était devant un lieu Saint, elle n'en montrait rien.
L'on voyait juste un visage angélique, entouré d'une masse de cheveux soyeux et blond, aux traits doux et juvéniles.
Mains jointes devant elle, elle semblait prier, en attendant la troupe...
catherine_elisabeth- Messages : 1
Date d'inscription : 22/09/2011
Localisation : Limousin
Métier : Princesse et Peste
Re: [Rp] Les Trois Vachette et un Vicomte.
Titca Dim 25 Sep - 1:40
( HRP : Je continu comme si la Marionnette Kartouche était là... Merci d'en faire de même dans vos réponses futur.)
-[ En route pour le pays.]-
Récupérer le Maire c'était fait, même si la Divine avait dû ouvrir la porte et légèrement user de ses charmes pour lui faire quitter son bureau, voyons le bon côté des choses : Nous avions toujours ou il était !
Rejoindre la Comtesse devant la Cathédrale, c'était fait aussi, plus rien n'empêcha de petit groupe de rejoindre la Résidence d'Arzhel de Montfort-Vendôme. Elle ne le connaissait pas personnellement, mais parait-il selon Tadeus qu'il était juste et droit, franc et appréciable. Elle n'en avait rien, mais espérait avoir l'occasion de parler et échanger quelques mots... Ben quoi ? Deux religieux ensembles n'allaient pas parler du beau temps rêvons pas !
La rue était loooooooooooooooooooooooooooooooongue et le temps aussi, parfois la Vipère écoutait la conversation, parlait, baillait, c'était même endormie pour vous dire, elle cajolait Catherine ou questionnait le maire, regardait les pierres de la rue ou comptait les vaches. Ils en avaient croisés cent-trente-deux vaches et environs clinquantes-six moutons quand elle s'endormit sur l'épaule de Kartouche, la main de sa nièce dans la sienne.
Et soudainement : le Carrosse s'arrêta, ils ne pouvaient pas encore être arrivé c'était quoi ce délire encore ?! Divine qui ouvre un oeil et ronchonne passant la tête par la fenêtre sans vitre. Devant eux ce trouvait un homme couché sur le sol et Hector un peu perdu. Elle tendit l'oreille et reconnu la langue du breton ! Intriguée, elle sortie du carrosse et alla rejoindre les deux hommes.
Demat deoc’h holl ! Outch fallait qu'elle ressorte son breton et reprenne les vieilles habitudes... Compliqué, surtout qu'en Limousin elle parlait Breton que sur le coup de la colère ou de la honte. Passons. Hector que ce passe-t-il ? Voui en Français c'était mieux... Oh...nan...je vois... Oui... ben faites comme ça... Euuh... oui oui ben ... occupez-vous de cet homme... Mais vite hein ! Tête qui passe a nouveau la fenêtre vers les deux amis. Hector dit que cet homme attend Ankou... La mort, il lui laisse dix minutes pour mourir le temps pour nous de marcher et faire un petit besoin naturel... Après il le tue lui-même et l'envoie brouter le cul des vaches... Je reviens je dois trouver un arbre qui recevra un cadeau Divin.
-[ En route pour le pays.]-
Récupérer le Maire c'était fait, même si la Divine avait dû ouvrir la porte et légèrement user de ses charmes pour lui faire quitter son bureau, voyons le bon côté des choses : Nous avions toujours ou il était !
Rejoindre la Comtesse devant la Cathédrale, c'était fait aussi, plus rien n'empêcha de petit groupe de rejoindre la Résidence d'Arzhel de Montfort-Vendôme. Elle ne le connaissait pas personnellement, mais parait-il selon Tadeus qu'il était juste et droit, franc et appréciable. Elle n'en avait rien, mais espérait avoir l'occasion de parler et échanger quelques mots... Ben quoi ? Deux religieux ensembles n'allaient pas parler du beau temps rêvons pas !
La rue était loooooooooooooooooooooooooooooooongue et le temps aussi, parfois la Vipère écoutait la conversation, parlait, baillait, c'était même endormie pour vous dire, elle cajolait Catherine ou questionnait le maire, regardait les pierres de la rue ou comptait les vaches. Ils en avaient croisés cent-trente-deux vaches et environs clinquantes-six moutons quand elle s'endormit sur l'épaule de Kartouche, la main de sa nièce dans la sienne.
Et soudainement : le Carrosse s'arrêta, ils ne pouvaient pas encore être arrivé c'était quoi ce délire encore ?! Divine qui ouvre un oeil et ronchonne passant la tête par la fenêtre sans vitre. Devant eux ce trouvait un homme couché sur le sol et Hector un peu perdu. Elle tendit l'oreille et reconnu la langue du breton ! Intriguée, elle sortie du carrosse et alla rejoindre les deux hommes.
Demat deoc’h holl ! Outch fallait qu'elle ressorte son breton et reprenne les vieilles habitudes... Compliqué, surtout qu'en Limousin elle parlait Breton que sur le coup de la colère ou de la honte. Passons. Hector que ce passe-t-il ? Voui en Français c'était mieux... Oh...nan...je vois... Oui... ben faites comme ça... Euuh... oui oui ben ... occupez-vous de cet homme... Mais vite hein ! Tête qui passe a nouveau la fenêtre vers les deux amis. Hector dit que cet homme attend Ankou... La mort, il lui laisse dix minutes pour mourir le temps pour nous de marcher et faire un petit besoin naturel... Après il le tue lui-même et l'envoie brouter le cul des vaches... Je reviens je dois trouver un arbre qui recevra un cadeau Divin.
Titca- Messages : 4
Date d'inscription : 20/09/2011
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